Ëffentlech n°427

Petitionnär/in: Fabio Taddei

Taxations et impositions sur prime de juin et 13ème mois.

Dës Petitioun huet net de Seuil vu 4.500 Ënnerschrëften erreecht. No Récksprooch mam Petitionär, gouf d'ëffentlech Petitioun an eng einfach Petitioun ëmgewandelt. Einfach Petitioun uweisen.
irrecevabel

D’Etappe vun dëser Petitioun

Icon process
16.12.2014

Ëmklasséierung vun der ëffentlecher Petitioun an déi ordinär Petitioun n°427, nodeems se den 16-12-2014 duerch d'Presidentekonferenz als irrecevabel deklaréiert gouf

16.12.2014

D'ëffentlech Petitioun Nr. 427 gouf den 16-12-2014 vun der Presidentekonferenz als irrecevabel deklaréiert.

Recevabilitéit: irrecevabel

15.12.2014

Den Avis vun der Petitiounskommissioun vum 15-12-2014 iwwert d'ëffentlech Petitioun Nr. 427 ass negativ

Avis vun der Petitiounskommissioun: negativ

02.09.2014

D'ëffentlech Petitioun Nr. 427 gouf den 02-09-2014 deposéiert.

Titel vun der Petitioun: Taxations et impositions sur prime de juin et 13ème mois.

Zil vun der Petitioun: Les contribuables sont beaucoup trop imposés sur les 13ème mois et sur la prime de juin. Les contribuables doivent être imposés de la même manière, comme pour les salaires.

 

L’intérêt général :

Les salaires et les primes sont acquis par le travail et par le mérite.

Cela recentrerait également le facteur travail (facteur indispensable à la croissance) à sa juste valeur dans nos sociétés modernes.

La somme des intérêts individuels doit être égale à l'intérêt général.

Si le facteur Travail est trop taxé pour les primes et les 13ème mois, cela va inhiber la consommation.

Il y a ici deux effets pervers:

- La désutilité du travail deviendrait supérieur à son utilité.

- Certaines personnes se voyant trop taxée auraient une réflexion mécanique qu'il serait mieux de ne plus travailler, et de moins être taxés, que de travailler et d'être trop taxé. Cela encouragerait certaine personnes à ne plus travailler et percevoir des allocations chômages.

- Les salariés travaillent toute l’année et ont hâte de recevoir ces primes mais lorsque les taxes et impôt sont déduits du brut il ne reste plus grand chose en net de ces primes. Cela entraînerait le découragement des salariés de la capacité.

L’état s’enrichit et les salariés ont de moins en moins, en plus des nouvelles taxes qui viendront s’y rajouter dans les mois avenir.

 

L’intérêt national :

C'est la relance de la consommation et de l'économie. La consommation est un facteur indispensable à la croissance.

Les primes de juin devraient être moins taxées en ce sens.

Nous savons que l'Etat est endetté, trop endetté. Au lieu de faire des économies, cette taxation pourrait être bénéfique pour l'économie car les ménages réinjecteraient cet argent dans l'économie du pays via la consommation.

 

02.09.2014

Depot